Affinage et polissage des hélices.

:( ,
pour illustrer ton propos sur la vapeur instantanée, voici quelques images montrant que la vapeur peut être rapide, très rapide:
 

 


@+
Seiko

Sur la 1ere vidéo, je me demandais comment ça s'arrêtait ?
Réponse : à l'amerrissage

Quel est le principe de fonctionnement ?

pat_2b

:( 

https://modelismenavalradioc.forumactif.com/t1679-tpe-1ere-s-c-est-parti
 
et leur mémoire:
 
http://www.fichier-pdf.fr/2011/07/10/tpe-fini-a-imprimer/tpe-fini-a-imprimer.pdf

@+
Seiko

 
Ça fait peur hein?? Si le pylône lâche! Adieu les bijoux de famille!:affraid: 
Comme on est en plein délire, mais qu'on reste dans la vapeur...
La vapeur instanée, c'est pas nouveau! 

SERPOLLET (France) 1887-1907
Léon Serpollet fut l'un des pionniers des véhicules routiers à vapeur et contribua plus que quiconque au développement des voitures à vapeur particulières, avec sa chaudière multitubulaire à vaporisation instantanée de 1888. Pour la première fois, la montée de vapeur s'effectuait rapidement, par évaporation instantanée de l'eau dans les tubes chauffés. L'ensemble était économique, car il n'engendrait que la vapeur immédiatement nécessaire ; il était de faible encombrement, ce qui permettait de l'utiliser dans des véhicules particuliers de dimensions raisonnables.
Huit années plus tard, Serpollet utilisait un chauffage au kérosène au lieu de coke, ce qui facilitait encore l'emploi de la vapeur dans les voitures particulières. Une double pompe alimentait le brûleur en huile et la chaudière en eau en proportion constante. En 1899, Serpollet avait mis au point un moteur 5 CV avec 4 cyl. verticaux et soupapes en champignon au lieu de chemises-tiroirs, montés centralement.
Jusque là, très peu de voitures Serpollet avaient été mises sur le marché mais, en 1900, avec le soutien financier de l'Américain Frank Gardner, le dernier modèle (maintenant avec cyl. opposés horizontaux) fut mis en vente sous forme de 5, 8 et 10 CV.
Serpollet participa à des compétitions, réalisant lui-même 120,7 km/h au kilomètre lancé avec une voiture de course en 1902. Les Serpollet finirent 3ème, 4ème, 5ème et 6ème dans le Circuit du Nord de 1902. Les voitures 6 cyl. préparées pour les épreuves éliminatoires de la course Gordon-Bennett de 1904 eurent moins de succès.
Les modèles 1903 avaient leur réservoir à eau à l'avant au lieu de l'arrière, de sorte qu'elles étaient munies d'un capot selon la mode du moment. Une année plus tard, la double pompe, précédemment actionnée à la main, fut montée sur les deux nouveaux modèles (la 15 et la 40 CV) entraînée par un moteur auxiliaire ; le moteur ainsi que la chaudière passèrent à l'avant. Le condensateur devint le "radiateur". Un petit modèle commercial de 9CV était également nouveau, dans celui-ci l'alimentation en huile se faisait exclusivement sous pression. Ces voitures, ainsi que la 8 cyl. de 1905, ont probablement été les plus perfectionnées de toutes les Gardner-Serpollet. En 1906, le moteur et la chaudière n'étaient plus en position avant, et ceci n'a probablement pas facilité les ventes une année plus tard, Serpollet, ainsi que sa voiture, moururent.
VEA


Et même un avion en vapeur instantanée!
Clément Ader sortait de l'école communale lui aussi ....:mon dieu 

Le moteur à vapeur ultra-léger[modifier | modifier le code]
Moteur à vapeur Ader de 30 ch destiné au deuxième exemplaire « Zephir » de son avion. 37 kg nu mais 134 kg avec les accessoires.
Le moteur de l'Éole donnait 20 ch pour 51 kg3 , soit seulement 2,5 kg/ch. Pour comparaison, le moteur utilisé par les frères Wright en 1903 développait 12 ch et pesait environ 75 kg, soit 6,2 kg/ch. Cette prouesse technique rendait possible le vol motorisé. À la suite des essais des avions, Ader proposa son moteur à vapeur au capitaine Renard, qui travaillait alors sur la propulsion des dirigeables, puis il se lança dans la fabrication des moteurs à explosion, notamment de moteurs de type V2 et V4.

On a un chapitre : " Vapeur instanée" qui ne demande quà se développer, alors si il y a des amateurs......  
 

:( 
Désolé! Messages simultanés!
Alors Estirio, notre professeur en la matière???? 
Espérons! Quand il aura fini de courir la prétentaine! Il faut bien que jeunesse se passe!:mon dieu  
Cordialement! 

Bonjour,
 
Je ne sais pas quelle est la vitesse actuelle réalisée par les bateaux à vapeur en circulaire mais, il y a une vingtaine d'années, elle était supérieure à 160 km/h. Je suppose que maintenant les 200 km/h doivent être atteints.
Le principe du moteur n'a rien avoir avec les moteurs classiques: Il s'approche un peu d'un moteur 2 temps:
en haut de la culasse, un distributeur de vapeur pour l'admission, l'échappement se fait au travers d'une lumière sur le cylindre (comme un moteur 2 temps), puis après le passage au point mort bas, le piston remonte grace au volant au point mort haut où l'admission de vapeur s'effectue grace au distributeur. Ces moteurs sont en vaporisation instannée, à plus de 15 bars de pression. Il est nécessaire de les lancer pour obtenir leur démarrage.
Ceci étant, et d'après toutes les données qui viennent d'arriver sur le forum, qui pourrait me calculer une hélice (diamètre, pas, profil des pales, forme des pales, nombre de pales, etc...) pour un bateau de 10 kg. Je souhaite que le bateau atteigne plus de 60 km/h. Je dispose d'un moteur délivrant 3 cv à 13000 t/mn.
 
A plus
Claude

  Re !

Pu...n de c.n ! Il sont fou ces vaporeux ! :affraid: 
Avec Anja je n'irais jamais aussi vite :nono 
Bein moi qui me surprenais avec mes 1,5 Km/h, les cheveux au vent ! ( :nono  Non ... les cheveux ils ne sont plus là ! )

Donc pour un bon rendement d'une hélice , que faut-il ? :comprend pas 

@+ pif :( 

:( 

Pif a écrit:Donc pour un bon rendement d'une hélice , que faut-il ?  

 
et bien il faut commencer par lire la doc que l'on vous poste!!!...

Re
Oui ! J'ais commencé, mais pas la tête à lire le soir et surtout le Dimanche !
@+ pif

seiko a écrit::( 

Pif a écrit:Donc pour un bon rendement d'une hélice , que faut-il ?  

 
et bien il faut commencer par lire la doc que l'on vous poste!!!...

Et "PAF prends ça dans le PIF...:cheers: 

Eh Pif, prends ça dans le paf !

:pleur  Bon bonjour Sniff !
 
Bon cela doit-être ma journée ? 
Je crois qu'un peu de vacance me ferait du bien:mon dieu 
 
Bon je vais aller lire les liens de Seiko  
 
Bonne journée à tous ! pif
 

@ Penich: Une hélice ne se calcule pas, elle s'essaie. Pour un nouveau bateau on commence par la même hélice qu'un bateau semblable existant et on essaie avec un pas légèrement plus grand, plus petit, un diamètre plus grand, plus petit. Il existe des abaques pour approcher de l'hélice "idéale", mais uniquement pour les bateaux grandeur. Tout dépend aussi de l'usage qu'on veut faire du bateau : vitesse, traction...
Par exemple un chalutier va privilégier la traction, donc grand diamètre, vitesse de rotation lente.

Bonsoir,

Merci Lagaffe, ce que je voulais dire dans ce post est que toutes les formules plus ou moins complexes, les théories, etc ne s'appliquent pas au modélisme. Aucun théoricien naval n'a fait d'études sur une hélice de 28 mm de diamètre par exemple.
Tout de même, avec une certaine expérience, on peut dire que pour une hélice "semi-immergée" un profil en triangle curviligne est préférable. On peut dire aussi que l'épaisseur du profil a une grosse influence. A cela, il faut ajouter le "cup" de la pale, voir aussi l'attaque de la langue. Evidemment il faut vérifier le pas (constant ou évolutif). Ce n'est qu'après avoir vérifier tout cela (il y a encore d'autres choses) que l'on pourra passer au polissage.
Maintenant, je voudrais que l'on fasse une comparaison entre une hélice immergée et une semi-immergée, et pourquoi.

A plus
Claude

on peu polir aussi avec de la laine de fer ( version fine) + pate a argenterie.
avec 4 pales ça fait 33% d huile de coude en plus...

:( ,
 
Affuter une hélice, facile:
 

 

Seiko (celui qui n'a pas de Seiki)

:( 
Si une hélice ça s'essaie, sûr que que ça se saurait! 
Lagaffe, il choisit ses slips comme ses hélices! Il les essaye, et s'il est content, il achète!