Construction Windstorm 60HJ
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Re: Construction Windstorm 60HJ
Bonjour,
Je ne dirai qu'un mot : Bravo!
seismic76
Je ne dirai qu'un mot : Bravo!
seismic76
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Si tu ne sais pas demande, si tu le sais partage.
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut,
Vos commentaires me font vraiment plaisir surtout venant de modélistes "hors-catégories" tels que vous!! Merci! Merci! Vous allez me faire rougir...
Ca récompense amplement les longues heures de "dur labeur" et le temps de mise en forme pour la présentation sur le Forum.
Mais vaudrait mieux attendre que les parois soient posées et la méthode vraiment validée...
Non, je n'étais pas "Charpentier" (et ma tendre moitié ne s'appelle pas "Marie" ...). Juste de l'attention aux détails et de la patience.
J'ai compris durant la construction de mes premiers bateaux que passer par flemmardise sur des à-peu-près, en sachant que je pourrais faire mieux, se paye en général assez cher aux étapes suivantes. Et alors on regrette... Et on bidouille sans fin pour essayer de se rattraper... Depuis je préfère prendre le temps qu'il faut. Et malgré ça y a quand même des m... de temps en temps... (ouais, bon assez souvent!!) Mais là c'est une question de limites de mes capacités!
Ne pas oublier que j'ai la chance de partir des bons plans d'Abfil même si, la méthode de construction étant différente, je dois pas mal les adapter au fur et à mesure. La base est solide et les grands principes bien définis.
Voilà, voilà...
A+, Marcel
Vos commentaires me font vraiment plaisir surtout venant de modélistes "hors-catégories" tels que vous!! Merci! Merci! Vous allez me faire rougir...
Ca récompense amplement les longues heures de "dur labeur" et le temps de mise en forme pour la présentation sur le Forum.
Mais vaudrait mieux attendre que les parois soient posées et la méthode vraiment validée...
Non, je n'étais pas "Charpentier" (et ma tendre moitié ne s'appelle pas "Marie" ...). Juste de l'attention aux détails et de la patience.
J'ai compris durant la construction de mes premiers bateaux que passer par flemmardise sur des à-peu-près, en sachant que je pourrais faire mieux, se paye en général assez cher aux étapes suivantes. Et alors on regrette... Et on bidouille sans fin pour essayer de se rattraper... Depuis je préfère prendre le temps qu'il faut. Et malgré ça y a quand même des m... de temps en temps... (ouais, bon assez souvent!!) Mais là c'est une question de limites de mes capacités!
Ne pas oublier que j'ai la chance de partir des bons plans d'Abfil même si, la méthode de construction étant différente, je dois pas mal les adapter au fur et à mesure. La base est solide et les grands principes bien définis.
Voilà, voilà...
A+, Marcel
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Un seul hêtre vous manque... et tout est peuplier ! (Coluche)
Si vous ne pouvez exceller par le talent, triomphez par l'effort. C'est insulter l'éternité que de tuer le temps!
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Re: Construction Windstorm 60HJ
Salutatous !
Sur mon WS60, j'ai électrifié le toit ouvrant qui se commande par la radio...
Je n'ai pas publié des photos sur le site de Philippe ?
Le principe était un micromoteur réducté (de ce type : http://www.gotronic.fr/cat-motoreducteurs-solarbotics-1243.htm) sur lequel j'ai fixé un tambour (fil laiton et deux flasques en rondelles soudées) où s'enroule un fil de pêche. Le moteur est solidaire de la partie amovible du cockpit évidemment, il est sous le plancher et occupe une partie de l'espace d'une salle de bain. Le fil de pêche passe dans un tube le long du montant avant gauche du pare-brise, puis arrive au niveau du toit où il est fixé à l'avant du cadre de la partie ouvrante du toit. Un élastique (qu'il faut parfois remplacer parce que le caoutchouc vieillit mal...) est fixé d'un côté à l'arrière du cadre de la partie ouvrante du toit, et de l'autre côté tout à l'arrière du cockpit. Cet élastique "tire" la partie ouvrante du toit vers l'arrière lorsqu'on déroule le fil du tambour, et ouvre donc le toit. Quand on actionne le moteur réducté dans l'autre sens, le fil s'enroule sur le tambour et tire le toit en avant, en bandant l'élastique, donc le toit se ferme.
Une des difficultés a été de trouver un tube qui laisse coulisser le fil librement ou presque : fil de scoubidou à oublier; tube de laiton idéal mais il y a des coudes serrés et c'est irréalisable en laiton; j'ai trouvé un tube en plastique dur (sur un bombe d'air comprimé), qui chauffé à la bougie, prend la forme qu'on veut.
Une autre difficulté était le choix du moteur : il faut vaincre la force de l'élastique, les frottements dans le tube, les frottements du cadre en bois de la partie mobile dans le cadre fixe du cockpit etc. Et il faut que la vitesse soit réaliste. Je ne sais plus quelle réduction j'ai sélectionné, mais comme j'avais divers moteurs de ce type je pouvais faire des essais...
Ne pas oublier des fins de course à l'avant et à l'arrière, sinon on casse toute la belle ébénisterie... Les miens sont un peu gros, je les choisirais mieux aujourd'hui...
Impatient de voir la suite de cette construction !
Bye bye
Thierry.
Sur mon WS60, j'ai électrifié le toit ouvrant qui se commande par la radio...
Je n'ai pas publié des photos sur le site de Philippe ?
Le principe était un micromoteur réducté (de ce type : http://www.gotronic.fr/cat-motoreducteurs-solarbotics-1243.htm) sur lequel j'ai fixé un tambour (fil laiton et deux flasques en rondelles soudées) où s'enroule un fil de pêche. Le moteur est solidaire de la partie amovible du cockpit évidemment, il est sous le plancher et occupe une partie de l'espace d'une salle de bain. Le fil de pêche passe dans un tube le long du montant avant gauche du pare-brise, puis arrive au niveau du toit où il est fixé à l'avant du cadre de la partie ouvrante du toit. Un élastique (qu'il faut parfois remplacer parce que le caoutchouc vieillit mal...) est fixé d'un côté à l'arrière du cadre de la partie ouvrante du toit, et de l'autre côté tout à l'arrière du cockpit. Cet élastique "tire" la partie ouvrante du toit vers l'arrière lorsqu'on déroule le fil du tambour, et ouvre donc le toit. Quand on actionne le moteur réducté dans l'autre sens, le fil s'enroule sur le tambour et tire le toit en avant, en bandant l'élastique, donc le toit se ferme.
Une des difficultés a été de trouver un tube qui laisse coulisser le fil librement ou presque : fil de scoubidou à oublier; tube de laiton idéal mais il y a des coudes serrés et c'est irréalisable en laiton; j'ai trouvé un tube en plastique dur (sur un bombe d'air comprimé), qui chauffé à la bougie, prend la forme qu'on veut.
Une autre difficulté était le choix du moteur : il faut vaincre la force de l'élastique, les frottements dans le tube, les frottements du cadre en bois de la partie mobile dans le cadre fixe du cockpit etc. Et il faut que la vitesse soit réaliste. Je ne sais plus quelle réduction j'ai sélectionné, mais comme j'avais divers moteurs de ce type je pouvais faire des essais...
Ne pas oublier des fins de course à l'avant et à l'arrière, sinon on casse toute la belle ébénisterie... Les miens sont un peu gros, je les choisirais mieux aujourd'hui...
Impatient de voir la suite de cette construction !
Bye bye
Thierry.
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut Thierry
Où j'ai loupé quelque chose...Veux-tu dire sous le plafond du roof? Aurais-tu une photo ou deux de l'installation?
Le coup de l' elastique de rappel est ingénieux.
Pour le moment je recherche les actuateurs linéaires. J' en ai trouvé (merci Gazou!) qui feraient le job. Facile à déployer, il se monte et se règle comme un servo, avec réglage des courses, etc.. Je pourrais le monter sous le toit du cockpit, il y a la place, mais ça ferait une verrue pas très maquette au plafond... J' avais pensé le mettre sous le toit du roof avec un système de Bowden wires pour transmettre le mouvement: A la fermeture (traction) je pense que ça marcherait. A l'ouverture (compression du Bowden et pas mal de coudes) je suis moins sur... Mais grâce à ton idée de l'élastique en rappel peut-être bien... Seul inconvénient ce genre de truc est pas donné (une centaine d'€) j'hésite à acheter et faire les essais.. Faut que je cogite encore...
http://www.gotronic.fr/art-actionneur-lineaire-l12-100-6r-12147.htm
Merci,
Marcel.
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Je connais bien le reportage sur ta construction publié sur le site de Philippe (Je l'ai consulté des centaines de fois, une grande aide ...). Il est fait allusion à la motorisation sur une des photos page 7 où l'on voit les micro switchs de fin de course. mais pas d'autres détails...Le belge a écrit:
Sur mon WS60, j'ai électrifié le toit ouvrant qui se commande par la radio...
Je n'ai pas publié des photos sur le site de Philippe ?
Là, je ne suis plus vraiment. Dans mon interprétation des plans, le roof et le cockpit (toit et flancs) sont solidaires et s'enlèvent d'un seul morceau pour donner accès au pont principal et aux cabine avant, pont que l'on ôte ensuite pour accéder aux accus, etc... Donc aucun plancher n'est solidaire du cockpit??? :comprend pas :comprend pasLe belge a écrit:
Le moteur est solidaire de la partie amovible du cockpit évidemment, il est sous le plancher et occupe une partie de l'espace d'une salle de bain.
Où j'ai loupé quelque chose...Veux-tu dire sous le plafond du roof? Aurais-tu une photo ou deux de l'installation?
Le coup de l' elastique de rappel est ingénieux.
Pour le moment je recherche les actuateurs linéaires. J' en ai trouvé (merci Gazou!) qui feraient le job. Facile à déployer, il se monte et se règle comme un servo, avec réglage des courses, etc.. Je pourrais le monter sous le toit du cockpit, il y a la place, mais ça ferait une verrue pas très maquette au plafond... J' avais pensé le mettre sous le toit du roof avec un système de Bowden wires pour transmettre le mouvement: A la fermeture (traction) je pense que ça marcherait. A l'ouverture (compression du Bowden et pas mal de coudes) je suis moins sur... Mais grâce à ton idée de l'élastique en rappel peut-être bien... Seul inconvénient ce genre de truc est pas donné (une centaine d'€) j'hésite à acheter et faire les essais.. Faut que je cogite encore...
http://www.gotronic.fr/art-actionneur-lineaire-l12-100-6r-12147.htm
Merci,
Marcel.
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Dernière édition par rookie78 le Jeu 8 Aoû - 18:35, édité 1 fois
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Re: Construction Windstorm 60HJ
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Etre à plat ventre c'est bien ! Mais c'est une position inconfortable pour lécher la main de celui qui vous botte le cul
GAZOU- Admin
- Age : 81
Re: Construction Windstorm 60HJ
pas besoin de moteur, il faut utiliser du fil à mémoire
Quand on applique le courant électrique, le fil se rétracte. Si on coupe le circuit, le fil reprend sa dimension originale. Le mouvement est doux et à la portée des débutants. Plus besoin de "fin de course"
Pour faire se mouvoir des plus grandes longueurs, on installe des guignols ou des poulies
Le principe du contrepoids est à préférer aux élastiques qui se dessèchent
Quand on applique le courant électrique, le fil se rétracte. Si on coupe le circuit, le fil reprend sa dimension originale. Le mouvement est doux et à la portée des débutants. Plus besoin de "fin de course"
Pour faire se mouvoir des plus grandes longueurs, on installe des guignols ou des poulies
Le principe du contrepoids est à préférer aux élastiques qui se dessèchent
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Albertus, du Pays de Herve, là où le fromage sent bon la vache
Re: Construction Windstorm 60HJ
et ça se trouve où cette merveille ?
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GAZOU- Admin
- Age : 81
Re: Construction Windstorm 60HJ
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Albertus, du Pays de Herve, là où le fromage sent bon la vache
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut,
- La rétraction en température est de 3 à 3,5% de la longueur du fil.En admettant que je puisse partir d'une longueur active de 50mm de fil, le mouvement généré sera de 50x3,5%=1,75mm. Pour passer de 1,75 à 85mm de course il me faut une multiplication de l'amplitude de pratiquement 50!
- En admettant que je réussisse à travers un système guignol/poulies à obtenir la multiplication, ça veut aussi dire que l'effort disponible en bout de la chaîne cinématique sera réduit du même facteur de 50.
- Pour fonctionner correctement de manière répétitive, il est recommandé de ne pas soumettre le fil à une tension de plus de 2N (200g). L'effort max en bout de chaîne ne devrait donc pas être supérieur à 200/50=4g ! Là ça va faire juste.
- Enfin, même en le mettant dans un tube téflon ou autre, je ne suis pas très chaud (sans jeu de mots) pour avoir un fil à 80°C dans la structure du cockpit.
Donc je continue à chercher...
Merci pour toutes ces idées... En les combinant, qui sait...
Marcel.
-----------------------
Pour une ouverture complète du toit, il me faut 85mm de course. Et c'est bien là le problème...GAZOU a écrit:tu as un grand débattement ?
Effectivement bien utile dans certains cas. Mais là je vois pas trop:Albertus a écrit:
pas besoin de moteur, il faut utiliser du fil à mémoire
- La rétraction en température est de 3 à 3,5% de la longueur du fil.En admettant que je puisse partir d'une longueur active de 50mm de fil, le mouvement généré sera de 50x3,5%=1,75mm. Pour passer de 1,75 à 85mm de course il me faut une multiplication de l'amplitude de pratiquement 50!
- En admettant que je réussisse à travers un système guignol/poulies à obtenir la multiplication, ça veut aussi dire que l'effort disponible en bout de la chaîne cinématique sera réduit du même facteur de 50.
- Pour fonctionner correctement de manière répétitive, il est recommandé de ne pas soumettre le fil à une tension de plus de 2N (200g). L'effort max en bout de chaîne ne devrait donc pas être supérieur à 200/50=4g ! Là ça va faire juste.
- Enfin, même en le mettant dans un tube téflon ou autre, je ne suis pas très chaud (sans jeu de mots) pour avoir un fil à 80°C dans la structure du cockpit.
Donc je continue à chercher...
Merci pour toutes ces idées... En les combinant, qui sait...
Marcel.
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Re: Construction Windstorm 60HJ
bonjour
*tu prends le système moteur d'aiguillage:
la vis sans fin commande la crémaillère qui peut partir soit de la butée A soit de la butée B
* un fil fait tourner la poulie 2 qui fait corps avec la poulie 3 dont tu règle le diamètre en fonction de la course du toit que tu veux obtenir.
*tu peux tout loger à l'endroit idéal en faisant circuler le câble en carbone ou autre matière solide dans une gaine jusqu'à ton toit .
*tu prends le système moteur d'aiguillage:
la vis sans fin commande la crémaillère qui peut partir soit de la butée A soit de la butée B
* un fil fait tourner la poulie 2 qui fait corps avec la poulie 3 dont tu règle le diamètre en fonction de la course du toit que tu veux obtenir.
*tu peux tout loger à l'endroit idéal en faisant circuler le câble en carbone ou autre matière solide dans une gaine jusqu'à ton toit .
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GAZOU- Admin
- Age : 81
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut,
La suite de la construction avec l’habillage extérieur du roof et du cockpit. Le principe est de le faire avec du CTP 1mm avec un minimum de panneaux, minimisant ponçage et mastic… Alors au boulot !!
• Le roof :
Le plus simple. Travail avec patrons en papier Canson épais. 3 éléments : Le dessus et les deux flancs. Le CTP de 1mm travaillé à la vapeur épouse facilement le bombé du capot.
Les 5mm du couple arrière sont laissés libre sur les côtés : Les flancs du cockpit les recouvriront pour renforcer la jointure des deux éléments.
Après collage, adoucissement des angles au papier de verre et mise en forme de du bloc de la partie avant. Pas de mastic à ce stade. N’ayant pas l’intention d’installer un système d’ancre motorisé (y a vraiment pas la place) j’ai décidé de pas ouvrir la baille de mouillage. Elle sera simplement matérialisée par un joint creux.
Les ouvertures des hublots sont découpées à la scie à chantourner avant pose sur la charpente.
• Le toit du cokpit :
Il sera taillé d’une seule pièce dans du CTP 1mm. Théoriquement, la surface totale n’est pas strictement développable, la partie pare-brise étant bombée dans les deux sens. Mais le « bombé » est relativement faible et la partie pare-brise est en réalité composée de bandes ce qui devrait permettre de tricher sans soucis.
Il m’a fallu deux patrons avant d’avoir le truc pile-poil. Ne pas oublier les débords autour des ouvertures pour pouvoir coller les vitrages. La partie autour du toit ouvrant déborde de 2 mm sur la structure de la partie coulissante.
Le patron est reporté sur le CTP. Découpe à la scie à chantourner et finition lime fine. Pour ne pas gâcher le CTP, les chutes sont précieusement gardées et serviront à réaliser le mobilier.
Après, il faut une bonne quantité de pinces en tout genre pour coller le toit sur la structure. Colle blanche lente pour avoir le temps de bien le positionner.
Même principe pour recouvrir la partie ouvrante du toit.
Au final un look bien propre avec des lignes continues sans aucun ponçage.
• La partie haute des flancs du cokpit :
Cette partie doit couvrir la partie haute du flanc et intégrer le support de l’arche radar. Même technique avec réalisation d’un patron. Seule petite difficulté : le raccord « flanc sur toit » passe de « tranche sur tranche » à franc-bord. Prévoir une petite feuillure.
Bien ajuster la partie basse en suivant l’ arête de la charpente. Côté toit on peut laisser 2 mm de marge qui seront poncés après collage.
Et le pinces sont de nouveau de sortie pour le collage :
• La partie basse des flancs :
Toujours la même technique du patron. Là c’est un peu plus délicat, car l’ajustement doit être aussi précis que possible pour la partie arrière, vers le haut (jonction à franc-bords) avec la partie haute du flanc et vers le bas (appui sur les passavents). Tout ponçage après collage sera délicat. Vers l’avant, pas de problème on pourra poncer à la demande au niveau des longerons du pare-brise. Donc prendre le temps de bien ajuster.
Lorsque l’ébauche est bien ajustée, on relève par l’intérieur l’image de la structure :
Puis on trace les découpes des baies en laissant 2 mm pour coller les vitrages :
Puis découpe à la scie à chantourner et finition lime fine.
Et bien sur, on ressort les pinces pour le collage :
• Fintion cockpit :
On colle une plaque de CTP sur le dessus de l’arche. Puis on adoucit les angles au papier de verre. C’est tout, et voilà le cockpit brut habillé :
L’intérieur reste assez propre et l’habillage ne devrait pas être trop compliqué :
Et l’instant que j’attendais depuis un moment : Découvrir le profil complet du yacht ! Roof & cockpit sont montés à blanc sur la coque. Pour moi, il a bien belle allure :D (Merci Abfil) !
Il reste quelques finitions à faire : Solidariser roof & cockpit ; Baguette de bas de pare-brise ; Baguette d’arrière du toit ; Départ arche/toit ; contours intérieurs hublots & baies.
A l’œil & au « toucher » les surfaces et les angles ont l’air correct. Probablement qu’après la couche d’apprêt quelques défauts apparaîtront et devront être repris au mastic (faut pas rêver quand même !) Mais cette façon d’habiller la structure est plutôt sympa et simple à condition de bien avoir travaillé la charpente à l'étape précédente.
A+, Marcel.
La suite de la construction avec l’habillage extérieur du roof et du cockpit. Le principe est de le faire avec du CTP 1mm avec un minimum de panneaux, minimisant ponçage et mastic… Alors au boulot !!
• Le roof :
Le plus simple. Travail avec patrons en papier Canson épais. 3 éléments : Le dessus et les deux flancs. Le CTP de 1mm travaillé à la vapeur épouse facilement le bombé du capot.
Les 5mm du couple arrière sont laissés libre sur les côtés : Les flancs du cockpit les recouvriront pour renforcer la jointure des deux éléments.
Après collage, adoucissement des angles au papier de verre et mise en forme de du bloc de la partie avant. Pas de mastic à ce stade. N’ayant pas l’intention d’installer un système d’ancre motorisé (y a vraiment pas la place) j’ai décidé de pas ouvrir la baille de mouillage. Elle sera simplement matérialisée par un joint creux.
Les ouvertures des hublots sont découpées à la scie à chantourner avant pose sur la charpente.
• Le toit du cokpit :
Il sera taillé d’une seule pièce dans du CTP 1mm. Théoriquement, la surface totale n’est pas strictement développable, la partie pare-brise étant bombée dans les deux sens. Mais le « bombé » est relativement faible et la partie pare-brise est en réalité composée de bandes ce qui devrait permettre de tricher sans soucis.
Il m’a fallu deux patrons avant d’avoir le truc pile-poil. Ne pas oublier les débords autour des ouvertures pour pouvoir coller les vitrages. La partie autour du toit ouvrant déborde de 2 mm sur la structure de la partie coulissante.
Le patron est reporté sur le CTP. Découpe à la scie à chantourner et finition lime fine. Pour ne pas gâcher le CTP, les chutes sont précieusement gardées et serviront à réaliser le mobilier.
Après, il faut une bonne quantité de pinces en tout genre pour coller le toit sur la structure. Colle blanche lente pour avoir le temps de bien le positionner.
Même principe pour recouvrir la partie ouvrante du toit.
Au final un look bien propre avec des lignes continues sans aucun ponçage.
• La partie haute des flancs du cokpit :
Cette partie doit couvrir la partie haute du flanc et intégrer le support de l’arche radar. Même technique avec réalisation d’un patron. Seule petite difficulté : le raccord « flanc sur toit » passe de « tranche sur tranche » à franc-bord. Prévoir une petite feuillure.
Bien ajuster la partie basse en suivant l’ arête de la charpente. Côté toit on peut laisser 2 mm de marge qui seront poncés après collage.
Et le pinces sont de nouveau de sortie pour le collage :
• La partie basse des flancs :
Toujours la même technique du patron. Là c’est un peu plus délicat, car l’ajustement doit être aussi précis que possible pour la partie arrière, vers le haut (jonction à franc-bords) avec la partie haute du flanc et vers le bas (appui sur les passavents). Tout ponçage après collage sera délicat. Vers l’avant, pas de problème on pourra poncer à la demande au niveau des longerons du pare-brise. Donc prendre le temps de bien ajuster.
Lorsque l’ébauche est bien ajustée, on relève par l’intérieur l’image de la structure :
Puis on trace les découpes des baies en laissant 2 mm pour coller les vitrages :
Puis découpe à la scie à chantourner et finition lime fine.
Et bien sur, on ressort les pinces pour le collage :
• Fintion cockpit :
On colle une plaque de CTP sur le dessus de l’arche. Puis on adoucit les angles au papier de verre. C’est tout, et voilà le cockpit brut habillé :
L’intérieur reste assez propre et l’habillage ne devrait pas être trop compliqué :
Et l’instant que j’attendais depuis un moment : Découvrir le profil complet du yacht ! Roof & cockpit sont montés à blanc sur la coque. Pour moi, il a bien belle allure :D (Merci Abfil) !
Il reste quelques finitions à faire : Solidariser roof & cockpit ; Baguette de bas de pare-brise ; Baguette d’arrière du toit ; Départ arche/toit ; contours intérieurs hublots & baies.
A l’œil & au « toucher » les surfaces et les angles ont l’air correct. Probablement qu’après la couche d’apprêt quelques défauts apparaîtront et devront être repris au mastic (faut pas rêver quand même !) Mais cette façon d’habiller la structure est plutôt sympa et simple à condition de bien avoir travaillé la charpente à l'étape précédente.
A+, Marcel.
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Re: Construction Windstorm 60HJ
C'est du très très beau boulot, tout en finesse ...
Merci pour le commentaire détaillé et illustré.
Très cordialement, à tous
Yves
Merci pour le commentaire détaillé et illustré.
Très cordialement, à tous
Yves
Braibant- Admin
- Age : 77
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut,
Merci pour les commentaires. Ca encourage à continuer !
Pour me changer du bois, et surtout savoir où je vais côté bricoles et câblage à faire avant de doubler le cockpit, je me suis re-penché sur la motorisation du toit ouvrant en essayant de clarifier ce dont je rêvais et en passant en revue toutes les solutions proposées par les généreux contributeurs au Forum . Ci-dessous, le résultat de mes élucubrations… Attention, les critiques formulées ici ne se veulent que constructives, rien de négatif…
Alors ce que je voulais :
- un truc réaliste côté temps d’ouverture/fermeture.
- un truc fiable.
- un truc simple à déployer, minimum de câblage et d’électronique.
- un truc compact qui ne gâche pas trop l’aspect maquette.
- un truc pas trop cher.
- Et pour finir, un truc que je saurai faire avec une bonne certitude…
• Les contraintes de la maquette :
- Course utile nécessaire : 85mm
- Emplacement du mécanisme :
. Soit à l’arrière du toit du cockpit, mais il faut alors un mécanisme de faible épaisseur pour ne pas se retrouver avec une « poutre » énorme au plafond.
. Soit sous le roof, au plafond du salon intérieur ou d’une salle-de-bains.
. Il y a un « peu » de place pour faire courir câbles, gaines et fils le long du pare-brise et du toit. On peut donc tirer/pousser à l’avant et/où à l’arrière de la partie ouvrante.
Alors les solutions évoquées :
• Moteur à la fermeture, élastique à l’ouverture :
« A tout seigneur, tout honneur ! ». C’est la solution réalisée par Thierry « le Belge ». D’abord on sait que ça marche… Logique et simple sur le principe. Mais (et je vous renvoie à son post) faut trouver le bon moteur pour avoir le couple et la vitesse qui vont bien : Compliqué, puisqu’il faut non seulement vaincre les frottements mais aussi faire travailler le moteur contre l’élastique de rappel, élastique qui doit être assez costaud pour tirer le toit, pas trop pour le moteur. Il faudra un système d’inversion du sens de rotation du moteur (« maison » ou variateur Av/Ar) . Il faut des contacts de fin de course et câbler tout ça. Pas simple pour arriver à un truc bien fonctionnel, c’est presque de l’art !
• Actuateur linéaire (ou vérin électrique) :
On en trouve plusieurs modèles. La mise en oeuvre est simple puisqu’ils se comportent comme un servo : Une prise sur la radio et ça roule (non, ça tire ou ça pousse…). Réglage du débattement en réglant les fins de course sur la radio. Les vitesses ne seraient pas trop ridicules, autour de 1cm/sec, donc pour le toit de 8 à 9 sec pour la manœuvre. Il y en a avec des courses de 100mm donc très suffisant. Mais ça n’existe pas en petite puissance et donc de dimensions réduites : minimum ø 16mm, longueur déployée 230mm. Le diamètre ne permet pas une installation élégante au plafond du cockpit. La longueur est un problème pour le mettre sous le roof. Et le prix n’est pas négligeable, 100 à120€. Donc j’écarte…
• Adaptation aiguillage HO :
Solution proposée par Gazou. La version avec poulie d’amplification du mouvement fonctionnerait. Quelques problèmes quand même : Quel est la force de ces moteurs ? Comme on amplifie le déplacement, on réduit la force. Nécessité de contacteurs de fin de course. Je ne sais pas quel est le signal de commande, je pense qu’il faut un circuit intermédiaire. Difficile de faire un truc compact. Mais les idées de passer par une poulie pour régler le débattement et d’avoir un mouvement commandé dans les deux sens sont bonnes et donnent à réfléchir…
• Système pignon/crémaillère :
On pourrait imaginer passer par une crémaillère, un pignon et un moteur : En jouant sur le pas de la crémaillère et le nombre de dents du pignon, il doit être possible d’obtenir la bonne amplitude. Donc plus de système de poulie. On tire et pousse par l’arrière du toit. Il y a un grand choix de crémaillères et pignons chez plusieurs fournisseurs. Restent le choix du moteur, la commande, les fins de courses, etc… Plus l’encombrement, j’aurais du mal à faire un truc à caser au plafond du cockpit… Le guidage de la crémaillère… Pas simple ! En fait on ré-invente l'actuateur linéaire . Et si on simplifiait le choix du moteur, les commandes et le câblage en utilisant un servo de treuil ? Ensemble trop gros … Mais un servo de treuil…
• Système avec servo-treuil :
En combinant le système de base de Thierry, le système en boucle à poulies de Gazou et l’utilisation d’un servo-treuil on doit pouvoir faire quelque chose :
- Le servo-treuil numérique proportionnel est simple à commander, prise servo classique.
- Le nombre de tours dans un sens et dans l’autre se programme facilement dans la radio (réglages fin de course).
- Le diamètre de la poulie de sortie permet de régler le débattement correspondant à un tour.
- Une poulie double permet d’enrouler un brin et de dévider l’autre.
- Les vitesses d’enroulement sont de 1,5 à 2s par tour. En jouant sur le nombre de tours on règle la vitesse de déplacement.
- Y a du couple (trop même !), 9 à 10kg/cm.
- Encombrement réduit, de la taille d’un servo standard.
- Prix raisonnable autour de 25 à 30€
Le montage serait alors celui-là :
Il y a ce servo-treuil : S125 6 tours-GWS. 1.5 secondes par tour sous 4,8v. Poids 50g. Encombrement 40x20x42 mm. Couple 9,2kg/cm.
Pour avoir une course de 85mm en 6 tours il faut un diamètre de poulies sur le servo de 4,5mm. Disons 4.8 mm pour avoir une petite marge. Ce qui donnera une ouverture/fermeture en 8 à 9secondes. Côté encombrement, ça doit aller : Le servo sera sous le roof, au plafond du salon intérieur.
Le déploiement devrait être dans mes cordes :
- Côté électronique/câblage : Pas grand chose, juste amener une rallonge de servo depuis le récepteur.
- Côté mécanique : Usinage de la poulie double de sortie sur le servo. Réalisation des 4 pivots de renvoi. Vue la vitesse de défilement du câble, je pense qu’il n’y a pas besoin de poulies sur roulements, un simple axe de 2mm devrait suffire. Donc facile de faire un truc qui tiendra dans l’épaisseur des faux plafond du cockpit et du roof.
Voilà, je crois que je vais me lancer sur ce système, à moins que les éminents experts du Forum ne me trouvent une faille dans le principe!!...
Marcel .
Merci pour les commentaires. Ca encourage à continuer !
Pour me changer du bois, et surtout savoir où je vais côté bricoles et câblage à faire avant de doubler le cockpit, je me suis re-penché sur la motorisation du toit ouvrant en essayant de clarifier ce dont je rêvais et en passant en revue toutes les solutions proposées par les généreux contributeurs au Forum . Ci-dessous, le résultat de mes élucubrations… Attention, les critiques formulées ici ne se veulent que constructives, rien de négatif…
Alors ce que je voulais :
- un truc réaliste côté temps d’ouverture/fermeture.
- un truc fiable.
- un truc simple à déployer, minimum de câblage et d’électronique.
- un truc compact qui ne gâche pas trop l’aspect maquette.
- un truc pas trop cher.
- Et pour finir, un truc que je saurai faire avec une bonne certitude…
• Les contraintes de la maquette :
- Course utile nécessaire : 85mm
- Emplacement du mécanisme :
. Soit à l’arrière du toit du cockpit, mais il faut alors un mécanisme de faible épaisseur pour ne pas se retrouver avec une « poutre » énorme au plafond.
. Soit sous le roof, au plafond du salon intérieur ou d’une salle-de-bains.
. Il y a un « peu » de place pour faire courir câbles, gaines et fils le long du pare-brise et du toit. On peut donc tirer/pousser à l’avant et/où à l’arrière de la partie ouvrante.
Alors les solutions évoquées :
• Moteur à la fermeture, élastique à l’ouverture :
« A tout seigneur, tout honneur ! ». C’est la solution réalisée par Thierry « le Belge ». D’abord on sait que ça marche… Logique et simple sur le principe. Mais (et je vous renvoie à son post) faut trouver le bon moteur pour avoir le couple et la vitesse qui vont bien : Compliqué, puisqu’il faut non seulement vaincre les frottements mais aussi faire travailler le moteur contre l’élastique de rappel, élastique qui doit être assez costaud pour tirer le toit, pas trop pour le moteur. Il faudra un système d’inversion du sens de rotation du moteur (« maison » ou variateur Av/Ar) . Il faut des contacts de fin de course et câbler tout ça. Pas simple pour arriver à un truc bien fonctionnel, c’est presque de l’art !
• Actuateur linéaire (ou vérin électrique) :
On en trouve plusieurs modèles. La mise en oeuvre est simple puisqu’ils se comportent comme un servo : Une prise sur la radio et ça roule (non, ça tire ou ça pousse…). Réglage du débattement en réglant les fins de course sur la radio. Les vitesses ne seraient pas trop ridicules, autour de 1cm/sec, donc pour le toit de 8 à 9 sec pour la manœuvre. Il y en a avec des courses de 100mm donc très suffisant. Mais ça n’existe pas en petite puissance et donc de dimensions réduites : minimum ø 16mm, longueur déployée 230mm. Le diamètre ne permet pas une installation élégante au plafond du cockpit. La longueur est un problème pour le mettre sous le roof. Et le prix n’est pas négligeable, 100 à120€. Donc j’écarte…
• Adaptation aiguillage HO :
Solution proposée par Gazou. La version avec poulie d’amplification du mouvement fonctionnerait. Quelques problèmes quand même : Quel est la force de ces moteurs ? Comme on amplifie le déplacement, on réduit la force. Nécessité de contacteurs de fin de course. Je ne sais pas quel est le signal de commande, je pense qu’il faut un circuit intermédiaire. Difficile de faire un truc compact. Mais les idées de passer par une poulie pour régler le débattement et d’avoir un mouvement commandé dans les deux sens sont bonnes et donnent à réfléchir…
• Système pignon/crémaillère :
On pourrait imaginer passer par une crémaillère, un pignon et un moteur : En jouant sur le pas de la crémaillère et le nombre de dents du pignon, il doit être possible d’obtenir la bonne amplitude. Donc plus de système de poulie. On tire et pousse par l’arrière du toit. Il y a un grand choix de crémaillères et pignons chez plusieurs fournisseurs. Restent le choix du moteur, la commande, les fins de courses, etc… Plus l’encombrement, j’aurais du mal à faire un truc à caser au plafond du cockpit… Le guidage de la crémaillère… Pas simple ! En fait on ré-invente l'actuateur linéaire . Et si on simplifiait le choix du moteur, les commandes et le câblage en utilisant un servo de treuil ? Ensemble trop gros … Mais un servo de treuil…
• Système avec servo-treuil :
En combinant le système de base de Thierry, le système en boucle à poulies de Gazou et l’utilisation d’un servo-treuil on doit pouvoir faire quelque chose :
- Le servo-treuil numérique proportionnel est simple à commander, prise servo classique.
- Le nombre de tours dans un sens et dans l’autre se programme facilement dans la radio (réglages fin de course).
- Le diamètre de la poulie de sortie permet de régler le débattement correspondant à un tour.
- Une poulie double permet d’enrouler un brin et de dévider l’autre.
- Les vitesses d’enroulement sont de 1,5 à 2s par tour. En jouant sur le nombre de tours on règle la vitesse de déplacement.
- Y a du couple (trop même !), 9 à 10kg/cm.
- Encombrement réduit, de la taille d’un servo standard.
- Prix raisonnable autour de 25 à 30€
Le montage serait alors celui-là :
Il y a ce servo-treuil : S125 6 tours-GWS. 1.5 secondes par tour sous 4,8v. Poids 50g. Encombrement 40x20x42 mm. Couple 9,2kg/cm.
Pour avoir une course de 85mm en 6 tours il faut un diamètre de poulies sur le servo de 4,5mm. Disons 4.8 mm pour avoir une petite marge. Ce qui donnera une ouverture/fermeture en 8 à 9secondes. Côté encombrement, ça doit aller : Le servo sera sous le roof, au plafond du salon intérieur.
Le déploiement devrait être dans mes cordes :
- Côté électronique/câblage : Pas grand chose, juste amener une rallonge de servo depuis le récepteur.
- Côté mécanique : Usinage de la poulie double de sortie sur le servo. Réalisation des 4 pivots de renvoi. Vue la vitesse de défilement du câble, je pense qu’il n’y a pas besoin de poulies sur roulements, un simple axe de 2mm devrait suffire. Donc facile de faire un truc qui tiendra dans l’épaisseur des faux plafond du cockpit et du roof.
Voilà, je crois que je vais me lancer sur ce système, à moins que les éminents experts du Forum ne me trouvent une faille dans le principe!!...
Marcel .
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Un seul hêtre vous manque... et tout est peuplier ! (Coluche)
Si vous ne pouvez exceller par le talent, triomphez par l'effort. C'est insulter l'éternité que de tuer le temps!
http://www.tournereau.com/modelisme/Accueil/Accueil.html
Re: Construction Windstorm 60HJ
Bonjour
c'est pratiquement le diamètre de l'axe de sortie du servo . Il faudrait une poulie un peu plus importante donc il me semble qu'il faudrait un ralentisseur de servo pour que le mouvement fermeture / ouverture soit très lent et ça ça peut se régler avec un potentiomètre.il faut un diamètre de poulies sur le servo de 4,5mm.
_________________
Etre à plat ventre c'est bien ! Mais c'est une position inconfortable pour lécher la main de celui qui vous botte le cul
GAZOU- Admin
- Age : 81
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut Gazou,GAZOU a écrit:Bonjour
c'est pratiquement le diamètre de l'axe de sortie du servo . Il faudrait une poulie un peu plus importante donc il me semble qu'il faudrait un ralentisseur de servo pour que le mouvement fermeture / ouverture soit très lent et ça ça peut se régler avec un potentiomètre.
Tu as raison, le diamètre de la poulie est trop proche de l'axe de sortie du servo et on ne peut pas directement réduire le diamètre de la poulie fournie avec le servo. Mais je préfère éviter l'ajout de ralentisseur ou potard... Donc il faut travailler le côté "poulie custom". Je pense que ce montage doit fonctionner, et il est facile à réaliser:
Faut voir ce que j'ai comme barre en Ø20mm... Et lancer le tour...
Marcel.
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Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut Marcel
Je suis ta construction avec beaucoup d'attention, c'est du très beau boulot y a rien à dire. Une fois de plus je prends énormément de plaisir à voir s'assembler un de mes modèles merci encore :( :( :(
Philippe
Je suis ta construction avec beaucoup d'attention, c'est du très beau boulot y a rien à dire. Une fois de plus je prends énormément de plaisir à voir s'assembler un de mes modèles merci encore :( :( :(
Philippe
Re: Construction Windstorm 60HJ
re
ne possédant pas de tour je n'ai pas ce réflexe , tu tiens le bon bout , c'est comme ça qu'il faut faire
ne possédant pas de tour je n'ai pas ce réflexe , tu tiens le bon bout , c'est comme ça qu'il faut faire
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Etre à plat ventre c'est bien ! Mais c'est une position inconfortable pour lécher la main de celui qui vous botte le cul
GAZOU- Admin
- Age : 81
Re: Construction Windstorm 60HJ
Super boulot !
Dis moi tu n'évoque pas un point pour ton toit ouvrant : le câble.
Je suppose que bien sur tu as pris en compte le facteur casse du brin, et le difficultés de remplacement dans le doublage de la super structure. D'autant plus que ton treuil a 10 kg de forc, ça fait péter des chaînes d'ancres ton machin là En plus il faudrait que tes deux brins (ouverture fermeture) soient en tenś permanente pour ne pas qu'ils sortent des poulies, et donc avoir des brins avec une très faible tendance à se détendre.
Tu as une idée pour ces câbles ? Nylon de pêche ?
En tout ça super taf !!!
Dis moi tu n'évoque pas un point pour ton toit ouvrant : le câble.
Je suppose que bien sur tu as pris en compte le facteur casse du brin, et le difficultés de remplacement dans le doublage de la super structure. D'autant plus que ton treuil a 10 kg de forc, ça fait péter des chaînes d'ancres ton machin là En plus il faudrait que tes deux brins (ouverture fermeture) soient en tenś permanente pour ne pas qu'ils sortent des poulies, et donc avoir des brins avec une très faible tendance à se détendre.
Tu as une idée pour ces câbles ? Nylon de pêche ?
En tout ça super taf !!!
Druili- Age : 44
Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut Druili,
Non, pas de fil nylon. Ils ont une mémoire de forme ennuyeuse et en petit diamètre s'usent trop facilement.
Pour les forces à déployer, il ne faut pas se laisser impressionner par le couple du servo-treuil. La seule raison que j'ai un truc aussi puissant c'est que je n'ai rien trouvé de plus petit. En fait, des servos-treuil, je n' en ai trouvé que 2! Celui que j'ai choisi et un autre chez Hitec, le HS-785HB qui est encore plus gros et plus puissant.
Des essais faits cet après-midi montrent qu' une force de 200grs est largement suffisante pour ouvrir et fermer le toit. Certes, j'étais en direct sans les tubes et les pivots. Alors soyons fous et multiplions par 3 pour tenir compte des frottements du fil et avoir une marge de sécurité: 600grs sur une poulie de Ø5mm en sortie du servo. Ca donne un moment "ridicule" de 0,02kg/cm à comparer au 10kg/cm de couple du servo!!
Donc, inutile de construire trop lourd... J'utiliserai un fil donné par un copain pêcheur: C'est une tresse fine sans mémoire de forme (en Dacron 8 brins je crois) de 5/10ème de diamètre et qui a une tension de rupture de 18kgs!! Je devrais être tranquille un moment. De plus, ce genre de tresse résiste bien aux frottement. Et le toit sera ouvert quoi? Une centaine de fois dans l'année? Ce qui fait que le câble aura "frotté" sur... 17m! Rien du tout.
Il y a très peu de place dans le toit pour placer de manière discrète les tubes et les pivots. Les tubes seront donc du laiton Øext.2mm/Øint.1,2mm. Et pour les pivots, puisque c'est du fil de pêche je ferai comme sur les cannes : Des anneaux. Y a pas de place pour rien de plus sophistiqué. Ils seront faits "maison": Fil à ressort de Ø1mm, enroulé sur un Ø de 2. Avec 2 petites pattes. Les pattes seront enfoncées dans un trou de Ø2,5 dans le support et noyées dans l'Araldite. Les plus chargés, ceux de renvoi à 90°, n'ont en statique que 300 ou 400grs à supporter. Ca devrait tenir. Pour les tubes, grâce aux pivots, je n'ai pas d'angle très fermés à réaliser. Je dois réussir à leur faire suivre la courbe du toit sans trop de problèmes: Une tige acier de Ø1,2 à l'intérieur devrait éviter les "plis" et au pire je ferai un recuit.
Enfin, j'avais prévu deux petits ressorts. Pas sur qu'ils soient vraiment nécessaires, au contraire: Durant mes essais, trop raides et ils ne servent à rien, trop mou et alors le toit avance par à-coups. Donc, la tresse bien tendue et des fins de course bien réglées devraient probablement suffire. A Voir...
Pour revenir au servo-treuil, une bonne solution aurait sans doute été de modifier un mini-servo classique: Encombrement réduit et couple de 2 ou 3kgs bien suffisant. Mais je n'ai ni les talents ni l'outillage pour me lancer dans ce genre de manip...
Voilà, voilà...
A+, Marcel.
Non, pas de fil nylon. Ils ont une mémoire de forme ennuyeuse et en petit diamètre s'usent trop facilement.
Pour les forces à déployer, il ne faut pas se laisser impressionner par le couple du servo-treuil. La seule raison que j'ai un truc aussi puissant c'est que je n'ai rien trouvé de plus petit. En fait, des servos-treuil, je n' en ai trouvé que 2! Celui que j'ai choisi et un autre chez Hitec, le HS-785HB qui est encore plus gros et plus puissant.
Des essais faits cet après-midi montrent qu' une force de 200grs est largement suffisante pour ouvrir et fermer le toit. Certes, j'étais en direct sans les tubes et les pivots. Alors soyons fous et multiplions par 3 pour tenir compte des frottements du fil et avoir une marge de sécurité: 600grs sur une poulie de Ø5mm en sortie du servo. Ca donne un moment "ridicule" de 0,02kg/cm à comparer au 10kg/cm de couple du servo!!
Donc, inutile de construire trop lourd... J'utiliserai un fil donné par un copain pêcheur: C'est une tresse fine sans mémoire de forme (en Dacron 8 brins je crois) de 5/10ème de diamètre et qui a une tension de rupture de 18kgs!! Je devrais être tranquille un moment. De plus, ce genre de tresse résiste bien aux frottement. Et le toit sera ouvert quoi? Une centaine de fois dans l'année? Ce qui fait que le câble aura "frotté" sur... 17m! Rien du tout.
Il y a très peu de place dans le toit pour placer de manière discrète les tubes et les pivots. Les tubes seront donc du laiton Øext.2mm/Øint.1,2mm. Et pour les pivots, puisque c'est du fil de pêche je ferai comme sur les cannes : Des anneaux. Y a pas de place pour rien de plus sophistiqué. Ils seront faits "maison": Fil à ressort de Ø1mm, enroulé sur un Ø de 2. Avec 2 petites pattes. Les pattes seront enfoncées dans un trou de Ø2,5 dans le support et noyées dans l'Araldite. Les plus chargés, ceux de renvoi à 90°, n'ont en statique que 300 ou 400grs à supporter. Ca devrait tenir. Pour les tubes, grâce aux pivots, je n'ai pas d'angle très fermés à réaliser. Je dois réussir à leur faire suivre la courbe du toit sans trop de problèmes: Une tige acier de Ø1,2 à l'intérieur devrait éviter les "plis" et au pire je ferai un recuit.
Enfin, j'avais prévu deux petits ressorts. Pas sur qu'ils soient vraiment nécessaires, au contraire: Durant mes essais, trop raides et ils ne servent à rien, trop mou et alors le toit avance par à-coups. Donc, la tresse bien tendue et des fins de course bien réglées devraient probablement suffire. A Voir...
Pour revenir au servo-treuil, une bonne solution aurait sans doute été de modifier un mini-servo classique: Encombrement réduit et couple de 2 ou 3kgs bien suffisant. Mais je n'ai ni les talents ni l'outillage pour me lancer dans ce genre de manip...
Voilà, voilà...
A+, Marcel.
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Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut,
Après 2 semaines sous le soleil breton, reprise des travaux avec la mise en place de la mécanique du toit ouvrant.
Le problème est un peu plus compliqué que ne le laissait supposer le dessin de principe:
• Il y a un effet important de multiplication des erreurs dans le système:
- On part sur 6 tours de treuil et deux poulies, une pour enrouler et l' autre pour dévider en principe la même quantité de fil.
- Une erreur de 1/10ème de mm sur le diamètre se traduira par une différence de fil enroulé ou dévidé de (0,1mm x π) x 6 tours =1,9mm ! Ca, ça doit se régler en pinaillant l'usinage...
- Plus aléatoire est l'enroulement sur les poulies: Pour des raisons d'encombrement, elles sont assez étroites (2mm) et même si le fil est fin (Ø0,5mm) il y aura à coup sur des chevauchements difficiles à prédire et donc des différences comme ci-dessus. Durant des essais, j'ai eu de 2 à 3mm d'écarts.
Un ressort de compensation entre les deux brins ouverture/fermeture sera donc indispensable.
• Les effets de coincement:
Pour des raisons d'esthétique et éviter un fil visible dans l'ouverture du toit, je pensais d'abord fixer le fil de fermeture sur un des côtés du toit, le long d' un montant extérieur du pare-brise. Résultat: Coincement (arc-boutement) garanti, même en assurant un jeu latéral minimum. Première solution, tirer des deux côtés... Mais ça devient compliqué, il faudrait une poulie à 3 étages et compenser les effets décrits ci-dessus sur chacun des brins... Trop compliqué et aléatoire. Je me suis donc résolu à fixer le fil de fermeture au centre du pare-brise et pour camoufler le fil j'ai rajouté une poutre centrale fixe dans le toit (ça aurait été mieux de la prévoir dès le début... ) . Bof! ça animera le toit...
• Ajout de la poutre fixe centrale: A peaufiner.
• La poulie "custom": Taillée dans un barreau d'acétate et fixée par 2 boulons Ø2mm sur la sortie standard du treuil.
• Installation des renvois d'angle (anneaux) et des tubes de guidage: Le tube de fermeture est encastré dans le montant central du pare-brise. Le tube d'ouverture court latéralement le long du toit.
Le ressort adéquate est en commande... "A la main" ça fonctionne plutôt bien.
On va attaquer le câblage et l'éclairage.
Marcel.
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Après 2 semaines sous le soleil breton, reprise des travaux avec la mise en place de la mécanique du toit ouvrant.
Le problème est un peu plus compliqué que ne le laissait supposer le dessin de principe:
• Il y a un effet important de multiplication des erreurs dans le système:
- On part sur 6 tours de treuil et deux poulies, une pour enrouler et l' autre pour dévider en principe la même quantité de fil.
- Une erreur de 1/10ème de mm sur le diamètre se traduira par une différence de fil enroulé ou dévidé de (0,1mm x π) x 6 tours =1,9mm ! Ca, ça doit se régler en pinaillant l'usinage...
- Plus aléatoire est l'enroulement sur les poulies: Pour des raisons d'encombrement, elles sont assez étroites (2mm) et même si le fil est fin (Ø0,5mm) il y aura à coup sur des chevauchements difficiles à prédire et donc des différences comme ci-dessus. Durant des essais, j'ai eu de 2 à 3mm d'écarts.
Un ressort de compensation entre les deux brins ouverture/fermeture sera donc indispensable.
• Les effets de coincement:
Pour des raisons d'esthétique et éviter un fil visible dans l'ouverture du toit, je pensais d'abord fixer le fil de fermeture sur un des côtés du toit, le long d' un montant extérieur du pare-brise. Résultat: Coincement (arc-boutement) garanti, même en assurant un jeu latéral minimum. Première solution, tirer des deux côtés... Mais ça devient compliqué, il faudrait une poulie à 3 étages et compenser les effets décrits ci-dessus sur chacun des brins... Trop compliqué et aléatoire. Je me suis donc résolu à fixer le fil de fermeture au centre du pare-brise et pour camoufler le fil j'ai rajouté une poutre centrale fixe dans le toit (ça aurait été mieux de la prévoir dès le début... ) . Bof! ça animera le toit...
• Ajout de la poutre fixe centrale: A peaufiner.
• La poulie "custom": Taillée dans un barreau d'acétate et fixée par 2 boulons Ø2mm sur la sortie standard du treuil.
• Installation des renvois d'angle (anneaux) et des tubes de guidage: Le tube de fermeture est encastré dans le montant central du pare-brise. Le tube d'ouverture court latéralement le long du toit.
Le ressort adéquate est en commande... "A la main" ça fonctionne plutôt bien.
On va attaquer le câblage et l'éclairage.
Marcel.
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Si vous ne pouvez exceller par le talent, triomphez par l'effort. C'est insulter l'éternité que de tuer le temps!
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Re: Construction Windstorm 60HJ
Salut,
La suite des travaux sur mon WS60HJ avec la finition du roof et du toit du cockpit. Rien de hautement technique, mais beaucoup de petits problèmes à régler au fil de l’eau…. Processus long et minutieux !.
• Schéma électrique :
Il faut faire le câblage avant de poser les plafonds et les parois intérieures. Donc d’abord un petit schéma pour définir ce que l’on a à caser. Toutes les lampes seront des LED, soit classiques rondes en Ø 3mm, soit, lorsque l’espace disponible ne le permet pas, en version CSM plates.
Les LED seront alimentées directement sur la sortie des LiPos 3s, en général par groupe de 3 sur une même résistance. Le schéma donne les valeurs de résistance calculées sur la base de la valeur nominale du voltage d’une 3S, 11,2v… Erreur ! :affraid: En fait, une LiPo 3S bien chargée délivre au départ 12,4v… Et ce 1,2v en plus induit un courant presque le double du courant nominal recommandé (20mA). Ca brille violemment !! :affraid: Il aurait fallu faire les calculs avec cette valeur de 12,4v pour éviter de fusiller les LEDs trop rapidement. Tout le câblage étant fait et n’étant plus accessible , je m’en suis sorti en abaissant la tension à l’entrée des circuits via une diode (merci les copains du Bleu…). Les valeurs correctes de résistance auraient du être 140 au lieu de 80, 300 au lieu de 240 & 440 au lieu de 380. La puissance dissipée maximum dans une résistance est de 0,2W et j’ai choisi le type métallique avec un rating de 0,6W, une bonne marge.
• Montage des spots :
J’ai utilisé la méthode « Pioupiou » à base de rivets chromés pour les LED Ø3mm et obtenir un effet spot. Par contre dans le cockpit, je n’avais pas la place pour des 3mm et je me suis rabattu vers des LED plates type CMS. Dans ce cas, le look spot sera obtenu en ajoutant un petit anneau chromé en finition.
• Plafond du roof :
Première chose, pose des hublots avec leurs parecloses d’épaisseur 5mm pour rattraper le niveau de la charpente du roof.
Le plafond est réalisé en CTP 8/10ème. Découpé et peint avant le câblage. Il restera démontable, fixé par de petites vis Ø2.
• Cockpit :
Tout d’ abord, pose des pare-brise et des baies vitrées. Ils sont taillés dans des feuilles de rhodoïd fumé brun , épaisseur 15/100ème. C’est un peu fin vue la taille des pare-brises et baies, mais je n’ai rien trouvé de plus épais en « fumé »… Ils sont collés contre la paroi extérieure par un filet de cyano et bien tenus en place par des parecloses (jouissif sur les parties arrondies…). L’épaisseur des parecloses est ajustée pour créer les surfaces nécessaires au collage de la paroi intérieure avec la courbure qui va bien. Il a été nécessaire de rajouter quelques baguettes de support.
Note : Les vapeurs de cyano ont tendance à blanchir le rhodoïd… Mais je me suis aperçu que ça s’enlève facilement sans attaquer le rhodoïd avec du cyano «Cleaner», le truc qui permet de se décoller les doigts…
Puis pose du doublage intérieur. Pour faciliter le câblage et la pose, chaque flanc est réalisé en 4 panneaux de CTP 5/10ème soigneusement ajustés.
C’est le moment d’installer les pattes de fixation arrières de l’ensemble cockpit : Patte en inox 1mm prise en sandwich dans la cloison et plaquette d’usure en laiton sous la butée de passavent. Le montage se fera en jouant sur l’élasticité latérale du cockpit.
Les pinces sont de sortie pour coller les différents panneaux.
Câblage de l’arche : Ca commence à faire pas mal de monde côté fils !
Et on met un peu d’ordre avant de coller le dernier panneau :
A la sortie, 9 fils : 3 pour le servo-treuil (neutre, +5v, signal), une arrivée générale +11,2v pour les LEDs, 5 arrivées séparées du neutre commandées via un multiswitch pour les différentes zones d’éclairage ( cabines avant, cockpit, plage arrière, projecteur, feux de position). Je n’ai pas encore finalisé le type de prise pour raccorder tout ça au pont principal, 3 fiches type servos ou une seule prise 9 broches. A voir. L’idée est de loger la connection sous le canapé amovible du pont principal.
• Accessoires :
Pendant les opérations de peinture intérieures et extérieures de l’ensemble cockpit, réalisation des différents accessoires à placer :
- Radar et dôme satellite taillés au tour et lacqués.
- Antenne et feu de mat réalisés avec ce qui traîne dans ma boîte à m…
- Plage de bain avant : Elle est réalisée selon les plans de P. Hof. La base est en CTP 5/10ème, cadre en baguettes de 5. Les formes des coussins sont taillées dans du CTP 8mm. Le tout recouvert de skaï et fini avec des passepoils en fil électrique 8/10ème .
• Finitions :
Une fois les peintures bien sèches, il n’y a plus qu’à assembler le tout ; Les peinture ont été réalisées avec des bombes Tamiya, appliquées directement sur les surfaces résinées poncées au grain 600 : Primer blanc, puis Pure White TS-26 et vernis TS-13. Et pour une fois, pas de coulures, je dois m’améliorer !!
Les éclairages fonctionnent comme prévu et l’aspect maquette pas trop mal :
• Toit ouvrant :
Le mécanisme du toit a été installé après les peintures, validant la possibilité de remplacer un câble par exemple à tout moment.
Le petit ressort de compensation joue parfaitement son rôle. Caractéristiques : fil de 0,4mm, Øext 2,4mm, longueur au repos 20mm, longueur max 30mm, charge max 900grs. Il est monté au repos à la moitié de son étirement max, laissant des longueurs de compensation de +/- 5mm. Les fils sont au repos sous une tension permanente d’environ 400grs.
Note : Une bonne adresse pour ces petits ressorts : http://www.ressorts-standard.com. Vente à l’unité et des milliers de ressorts de tout type.
L’ ouverture ou la fermeture se font en 9 secondes, ce qui est conforme aux prévisions et sans à-coups. Réglage facile en jouant avec le neutre et les fins de courses sur la radio. 3 possibilités selon le type de commande de la voie choisie sur la radio:
- Bouton deux positions : Toit ouvert ou fermé.
- Bouton trois positions : Toit ouvert, ouvert à moitié ou fermé.
- Potard : Position au choix.
Un petit film (format QuickTime .mov) de démonstration du fonctionnement du toit ouvrant :
http://www.tournereau.com/modelisme/WS60_HJ/Cockpit/Test_Toit.html
Voilà pour aujoud’hui !
Marcel.
La suite des travaux sur mon WS60HJ avec la finition du roof et du toit du cockpit. Rien de hautement technique, mais beaucoup de petits problèmes à régler au fil de l’eau…. Processus long et minutieux !.
• Schéma électrique :
Il faut faire le câblage avant de poser les plafonds et les parois intérieures. Donc d’abord un petit schéma pour définir ce que l’on a à caser. Toutes les lampes seront des LED, soit classiques rondes en Ø 3mm, soit, lorsque l’espace disponible ne le permet pas, en version CSM plates.
Les LED seront alimentées directement sur la sortie des LiPos 3s, en général par groupe de 3 sur une même résistance. Le schéma donne les valeurs de résistance calculées sur la base de la valeur nominale du voltage d’une 3S, 11,2v… Erreur ! :affraid: En fait, une LiPo 3S bien chargée délivre au départ 12,4v… Et ce 1,2v en plus induit un courant presque le double du courant nominal recommandé (20mA). Ca brille violemment !! :affraid: Il aurait fallu faire les calculs avec cette valeur de 12,4v pour éviter de fusiller les LEDs trop rapidement. Tout le câblage étant fait et n’étant plus accessible , je m’en suis sorti en abaissant la tension à l’entrée des circuits via une diode (merci les copains du Bleu…). Les valeurs correctes de résistance auraient du être 140 au lieu de 80, 300 au lieu de 240 & 440 au lieu de 380. La puissance dissipée maximum dans une résistance est de 0,2W et j’ai choisi le type métallique avec un rating de 0,6W, une bonne marge.
• Montage des spots :
J’ai utilisé la méthode « Pioupiou » à base de rivets chromés pour les LED Ø3mm et obtenir un effet spot. Par contre dans le cockpit, je n’avais pas la place pour des 3mm et je me suis rabattu vers des LED plates type CMS. Dans ce cas, le look spot sera obtenu en ajoutant un petit anneau chromé en finition.
• Plafond du roof :
Première chose, pose des hublots avec leurs parecloses d’épaisseur 5mm pour rattraper le niveau de la charpente du roof.
Le plafond est réalisé en CTP 8/10ème. Découpé et peint avant le câblage. Il restera démontable, fixé par de petites vis Ø2.
• Cockpit :
Tout d’ abord, pose des pare-brise et des baies vitrées. Ils sont taillés dans des feuilles de rhodoïd fumé brun , épaisseur 15/100ème. C’est un peu fin vue la taille des pare-brises et baies, mais je n’ai rien trouvé de plus épais en « fumé »… Ils sont collés contre la paroi extérieure par un filet de cyano et bien tenus en place par des parecloses (jouissif sur les parties arrondies…). L’épaisseur des parecloses est ajustée pour créer les surfaces nécessaires au collage de la paroi intérieure avec la courbure qui va bien. Il a été nécessaire de rajouter quelques baguettes de support.
Note : Les vapeurs de cyano ont tendance à blanchir le rhodoïd… Mais je me suis aperçu que ça s’enlève facilement sans attaquer le rhodoïd avec du cyano «Cleaner», le truc qui permet de se décoller les doigts…
Puis pose du doublage intérieur. Pour faciliter le câblage et la pose, chaque flanc est réalisé en 4 panneaux de CTP 5/10ème soigneusement ajustés.
C’est le moment d’installer les pattes de fixation arrières de l’ensemble cockpit : Patte en inox 1mm prise en sandwich dans la cloison et plaquette d’usure en laiton sous la butée de passavent. Le montage se fera en jouant sur l’élasticité latérale du cockpit.
Les pinces sont de sortie pour coller les différents panneaux.
Câblage de l’arche : Ca commence à faire pas mal de monde côté fils !
Et on met un peu d’ordre avant de coller le dernier panneau :
A la sortie, 9 fils : 3 pour le servo-treuil (neutre, +5v, signal), une arrivée générale +11,2v pour les LEDs, 5 arrivées séparées du neutre commandées via un multiswitch pour les différentes zones d’éclairage ( cabines avant, cockpit, plage arrière, projecteur, feux de position). Je n’ai pas encore finalisé le type de prise pour raccorder tout ça au pont principal, 3 fiches type servos ou une seule prise 9 broches. A voir. L’idée est de loger la connection sous le canapé amovible du pont principal.
• Accessoires :
Pendant les opérations de peinture intérieures et extérieures de l’ensemble cockpit, réalisation des différents accessoires à placer :
- Radar et dôme satellite taillés au tour et lacqués.
- Antenne et feu de mat réalisés avec ce qui traîne dans ma boîte à m…
- Plage de bain avant : Elle est réalisée selon les plans de P. Hof. La base est en CTP 5/10ème, cadre en baguettes de 5. Les formes des coussins sont taillées dans du CTP 8mm. Le tout recouvert de skaï et fini avec des passepoils en fil électrique 8/10ème .
• Finitions :
Une fois les peintures bien sèches, il n’y a plus qu’à assembler le tout ; Les peinture ont été réalisées avec des bombes Tamiya, appliquées directement sur les surfaces résinées poncées au grain 600 : Primer blanc, puis Pure White TS-26 et vernis TS-13. Et pour une fois, pas de coulures, je dois m’améliorer !!
Les éclairages fonctionnent comme prévu et l’aspect maquette pas trop mal :
• Toit ouvrant :
Le mécanisme du toit a été installé après les peintures, validant la possibilité de remplacer un câble par exemple à tout moment.
Le petit ressort de compensation joue parfaitement son rôle. Caractéristiques : fil de 0,4mm, Øext 2,4mm, longueur au repos 20mm, longueur max 30mm, charge max 900grs. Il est monté au repos à la moitié de son étirement max, laissant des longueurs de compensation de +/- 5mm. Les fils sont au repos sous une tension permanente d’environ 400grs.
Note : Une bonne adresse pour ces petits ressorts : http://www.ressorts-standard.com. Vente à l’unité et des milliers de ressorts de tout type.
L’ ouverture ou la fermeture se font en 9 secondes, ce qui est conforme aux prévisions et sans à-coups. Réglage facile en jouant avec le neutre et les fins de courses sur la radio. 3 possibilités selon le type de commande de la voie choisie sur la radio:
- Bouton deux positions : Toit ouvert ou fermé.
- Bouton trois positions : Toit ouvert, ouvert à moitié ou fermé.
- Potard : Position au choix.
Un petit film (format QuickTime .mov) de démonstration du fonctionnement du toit ouvrant :
http://www.tournereau.com/modelisme/WS60_HJ/Cockpit/Test_Toit.html
Voilà pour aujoud’hui !
Marcel.
Dernière édition par rookie78 le Dim 13 Sep - 12:42, édité 1 fois
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Un seul hêtre vous manque... et tout est peuplier ! (Coluche)
Si vous ne pouvez exceller par le talent, triomphez par l'effort. C'est insulter l'éternité que de tuer le temps!
http://www.tournereau.com/modelisme/Accueil/Accueil.html
Re: Construction Windstorm 60HJ
Hello Marcel.
J'ai lu que tu colle les LEDS à la cyano. Est-ce que ça ne les rend pas opaques?
Super ton toit ouvrant. Le reste aussi d'ailleurs.
J'ai lu que tu colle les LEDS à la cyano. Est-ce que ça ne les rend pas opaques?
Super ton toit ouvrant. Le reste aussi d'ailleurs.
Invité- Invité
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